Cette visite a été faite en mai 2013.
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Bien que située sur la façade atlantique, Lisbonne bénéficie d’un climat de type méditerranéen caractérisé par des hivers doux, en l’occurence quasiment hors gel, et des étés chauds et secs.
Ces conditions privilégiées permettent au jardin botanique de Lisbonne d’offrir au visiteur des sujets intéressants dont la présentation qui suit n’est qu’un aperçu.
nb : le « jardin botanique », situé en plein coeur de la ville, ne doit pas être confondu avec le « Jardin botanique tropical » situé dans le quartier de Bélem, qui fait l’objet d’une présentation distincte.
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Le jardin botanique comporte une très belle collection de cycadales composée de Cycas, de Ceratozamia, d’Encephalartos, etc… .
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Encephalartos horridus, il porte bien son nom ! Mieux vaut ne pas s’y frotter.
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Encephalartos lehmannii, une belle plante au feuillage bleuté.
Cycas circinalis, un feuillage très fin qui évoque certains palmiers.
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Ceratozamia (sp. mexicana ?), sauf erreur d’identification (le sujet n’était pas étiqueté).
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Encephalartos villosus
Montsera deliciosa, est une liane de la famille des Aracées, proche du philodendron..
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La floraison et la fructification de Monstera deliciosa sont caractéristiques des Aracées : un spacide (comme chez Zantedeschia aethiopica), puis, lorsque la spathe tombe, l’épis central se développe. Il n’est comestible qu’à maturité (et toxique avant); il est alors un fruit délicieux avec un goût fruité et sucré. On en vend sur le marché de Funchal, à Madère. A essayer si l’occasion de présente …
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Alpinia zerumbet. Voir également le sujet en fleurs à Madère.
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Erythrina stricta var. suberosa (sauf erreur d’identification car arbre non étiqueté).
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Le jardin botanique présente également une belle collection d’arbres intéressants. Ici, l’écorce de Erythrina stricta (à gauche) et de Araucaria heterophylla (à droite).
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Chorisia speciosa, un sujet remarquable, à la forme très élancée, différant totalement de la forme arbustive évasée de ceux rencontrés au jardin botanique de Malte.
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Dracaena draco. Celui-ci diffère, de par sa forme trapue, de sujets à développement vertical comme celui rencontré à Madère. Le grand nombre de divisions des branches atteste du grand l’âge du sujet.
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La vue du dessous du sujet montre la structure particulière de ce Dracaena draco.
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… et pour terminer, un Tetrapanax (sauf erreur d’identification car non étiqueté).
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