Pour les raisons indiquées dans la présentation de la rubrique « Les plantes », on présentera les vivaces les plus connues comme celles qui le sont moins mais qui gagnent à être plus largement introduites dans le jardin méditerranéen.
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Argyranthemum coronopifolium
D’origine méditerranéenne, endémique des îles Canaries, il se présente comme un beau buisson bas, d’environ 1 m de diamètre sur 40 à 50 cm de haut, à la forme bien arrondie. Le feuillage très découpé d’une couleur bleu-gris, est intéressant tout l’année. Il est couvert de fleurs pendant au moins 5 mois, de janvier à mai, et plus longtemps avec une floraison sporadique. Les fleurs mesurent de 1 à 2 cm de diamètre et sont comparables à des « marguerites » en miniature. Je le taille toujours après la floraison principale pour lui maintenir un port plus dense et enlever les inflorescences fanées qui ne présentent aucun intérêt. Le sujet a dépéri après 5 à 6 ans sans que je sache s’il s’agit d’une durée de vie normale ou d’un accident. Je ne l’ai pas renouvelé car il est difficile à trouver.
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Argyranthemum coronopifolium. Au delà de l’aspect général de la plante, la fleur présente un intérêt esthétique certain.
Argyranthemum coronopifolium après la pluie
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Barleria obtusa
C’est une sud-africaine aux fleurs bleu céleste d’environ 2 cm de diamètre, qui s’ouvrent en novembre-décembre. Un vrai régal en cette période de l’année. Installée à mi-ombre, elle refuse parfois de fleurir si le froid est précoce et accentué. Même sans fleur, elle est agréable par son feuillage légèrement duveteux. Rampante, de 30 à 40 cm de haut, elle se propage bien sans être envahissante. Bouturage facile; elle se marcotte naturellement. La partie aérienne de la plante présente une sensibilité à la neige.
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Barleria obtusa après la pluie
Bidens ferulifolia
C’est une mexicaine, toujours en fleurs. La pleine saison de floraison, qui constelle la plante de nombreuses fleurs jaune d’environ 1,5 cm, s’étend de mai/juin à septembre/octobre selon le temps. Mais installée en plein soleil et bien abritée, la plante est en fleurs toute l’année, avec certes moins de vigueur l’hiver. Son feuillage est attractif, très découpé, restant bien vert en permanence. En contre-partie de cette floraison abondante, la plante s’épuise vite et demande a être renouvelée assez souvent, en moyenne tous les 2 ans dans mon jardin où elle est exposée plein sud.
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Bidens ferulifolia. La fleur et son bouton, et un aperçu du feuillage finement découpé en arrière plan à droite.
Bulbinella frutescens ‘Hallmark’
Sud-africaine, vivace et succulente. Elle dispose en effet de réserves dans ses feuilles longues et effilées, gorgées d’eau, qui lui permettent de survivre plus de 5 mois sans apport d’eau. C’est par excellence une plante de jardin sec. Ses fleurs sont groupées en une inflorescence à dominante orange pour le cultivar ‘Hallmark’ et jaune pour le type, les fleurs ayant toujours un coeur « plumeux » jaune. J’ai associé l’espèce type et le cultivar dans une plate bande pour enrichir la variété des couleurs. La pleine floraison s’étend largement de mai à septembre, et continue de façon plus sporadique en dehors de cette période.
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Bulbinella frutescens ‘Hallmark’. Détail d’une inflorescence. Celles-ci sont portées par une longue tige, qui ne se remarque pas trop parmi l’ensemble des inflorescences en pleine saison, mais qui prend un air un peu « dégingandé » lors des floraisons sporadiques d’hiver.
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Détail de la fleur de Bulbinella frutescens ‘Hallmark’. Dans l’espèce type, les pétales sont jaunes.
Cerastostigma plumbagoides
Originaire de l’Himalaya. Vivace de petite taille dont le feuillage devient rouge à l’automne. Ses fleurs, joliment dessinées, sont d’un bleu gentiane qui tranche particulièrement avec les autres couleurs, notamment les jaunes et les rouges. Pour cette raison, je ne l’emploie « qu’à petite dose », et à vrai dire là où il s’est installé tout seul ! Mais avec le temps, cette plante est devenue invasive. J’ai fini par la supprimer du jardin et la cultiver uniquement en pot.
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Cerastostigma plumbagoides. Une couleur qui réveille !
Coleonema album et C. pulchrum
Encore une sud-africaine aux innombrables petites fleurs d’à peine 1 cm, blanches (C. album) ou roses (C. pulchrum). De janvier à avril, c’est une constellation de petites fleurs portées par un joli feuillage très ramifié sur une plante d’environ 1 m en tous sens (plus compacte pour C. pulchrum). Lorsqu’elle n’est pas en fleurs, elle enrichit agréablement la variété des feuillages. La situation ne semble pas influer : C. album est plantée à l’ombre, C. pulchrum en plein soleil. Elle paraît également insensible au vent, y compris au mistral. Intéressant à savoir !
Coleonema album, aux petites fleurs blanches…
… et Coleonema pulchrum, aux fleurs roses dont les pétales sont pointus.
Commelina communis
Tiens, une plante d’ombre ! C’est assez rare pour être signalé, car bien que méditerranéens, nos jardins ont souvent des zones d’ombre à aménager. Les fleurir n’est pas toujours chose facile… Pouvant supporter le soleil, Commelina communis s’adapte parfaitement en sous-bois ou à mi-ombre. Elle offre de petites fleurs bleues très lumineuses à l’ombre. Elle est du plus bel effet au milieu des fougères.
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Commelina communis présente une fleur à la forme peu commune, avec des anthères jaunes sur fond de pétales bleus
Cymbidium
C’est devenu une plante vivace dans le jardin dès lors qu’elle se trouve protégée par l’ombre d’une végétation assez dense dans la « Palmeraie« . Ceci permet de conserver une température relativement constante, pour le moins plus stable que les spots exposés au plein air. Le refleurissement se fait fin décembre début janvier, période à laquelle le temps est encore doux.
Cymbidium .sp, floraison hivernale. La plante a été installée en sous-bois dans la palmeraie; le couvert végétal la protège des froids généralement non gélifs dans le jardin.
Epilobium canum ‘Western hills’
Originaire de l’ouest des Etats-Unis, principalement de Californie. C’est une vivace au feuillage vert acquérant une dominante grise au soleil d’été, très fin. Il se propage bien pour combler les espaces vides aux alentours, mais ne peut-être considéré, dans nos jardins, comme invasif, ne serait-ce que parce qu’il s’arrache très facilement en cas de besoin. Il fleurit en seconde partie d’été et en automne. Le cultivar « Western hills’ est magnifique et change un peu de la forme traditionnelle rouge : les fleurs sont ici d’un rouge orange lumineux qui se détache bien sur le feuillage gris-vert.
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Epilobium canum ‘Western hills’. Très expressives ces fleurs …!
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Epilobium canum ‘Western hills’ a décidé d’aller fréquenter Caryopteris incana ! Le feuillage très fin de l’Epilobium, dont la tonalité vert-gris s’accorde bien avec le Caryopteris bleu clair, donne une impression vaporeuse dans laquelle les fleurs rouge-orange d’Epilobium canum ‘Western hills’ se détachent tout en nuance. Sur la gauche, on remarque une forme bleu indigo de Caryopteris incana, alors que le reste du massif est composé de 3 pieds de forme bleu clair. Le pied d’Epilobium canum ‘Wester hills’ est, quand à lui, planté à plus d’un mètre de là. C’est dire qu’il a fait du chemin pour aller voir sa belle !
Erigeron Karvinskianus.
Natif du Mexique et d’Amérique centrale, l’Erigeron est une petite vivace …qui se propage volontiers partout ! Elle est fleurie quasiment toute l’année en climat doux, avec un pic de floraison pendant la saison chaude. Ses fleurs mesurent 1,5 cm, et sont très nombreuses à orner la plante. Prises isolément, elles ne sont pas mal du tout … Avec le temps, cette plante est devenue invasive et difficile à éradiquer car les racines sont traçantes. Je l’ai supprimée du jardin et je la cultive désormais en pôt.
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Erigeron karvinskianus. Détail d’une des innombrables fleurs qui décorent la plante comme un sapin de Noël !
Euphorbia rigida
Elle est originaire du pourtour méditerranéen. Assez commune, elle mérite néanmoins d’être signalée car elle apporte une touche très graphique dans un jardin, avec une disposition hélicoïdale des feuilles sur la tige. Avec sa couleur bleutée, elle ajoute à la variété des formes et des couleurs. Sa floraison, dès le mois de mars, en cyathes jaune acide, qui contraste bien avec le feuillage bleu, se prolonge pendant de nombreux mois en inflorescences fanées qui virent au rose ancien au soleil. Elle rejette bien pour former un beau massif d’une cinquantaine de cm en tous sens. Je l’ai plantée en plein soleil. Elle supporte bien le vent. Très facile à bouturer.
Euphorbia rigida offre un feuillage bleuté très graphique pendant toute l’année.
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Les inflorescence de Euphorbia rigida présentent un contraste harmonieux entre le feuillage bleuté et les fleurs jaune acide.
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Floraison hivernale de Euphorbia rigida après la pluie. Des gouttes d’eau ont décidé d’illuminer le coeur de chaque fleur.
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Après la floraison, Euphorbia rigida produit des capsules de graines qui prolongent l’embellissement de la plante.
Gaura lindheimeiri
Il est originaire des Etas-Unis, du Texas. Il a un feuillage bas, mais forme un beau buisson d’un mètre en tous sens lorsqu’à compter du mois de juin, il lance ses tiges de fleurs qui masquent alors le feuillage pendant tout l’été. Je le rabats ensuite au niveau du feuillage.
Gaura lindheimeiri. Lorsque la plante est en fleurs, on a tendance à ne voir qu’un bel ensemble couvert de fleurs blanches ponctuées par le rose des boutons. Mais la fleur, par elle-même, ne manque pas d’intérêt…
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Geranium madarense
C’est un grand géranium qui peut avoisiner 1 mètre d’envergure. Il met plusieurs années pour fleurir et meurt après la floraison car il est monocarpique. Toutefois, il peut émettre des rejets ou se ressemer pour assurer sa descendance.;
Geranium madarense, une magnifique plante a mettre en valeur dans un endroit approprié du jardin. Ici, sur la photo de gauche, la plante est arrivée à maturité et commence à fleurir début avril. Sur la photo de droite, elle dépérit à la fin du mois suivant, mais laisse un rejet visible à gauche de l’ancienne plante.
Et finalement, un nouveau sujet s’est ressemé entre la base des pétioles du Phoenix canariensis distant de 3 mètres. C’est un phénomène d’épiphytie, qui conduit une plante à pousser au sein d’un arbre ou, comme ici, d’un palmier. A cet égard, Phoenix canariensis est assez accueillant en raison des espaces larges et fibreux entre la base des anciens pétioles.
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Un détail de la fleur à son épanouissement.
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Geranium sanguineum
Jolie vivace aux fleurs d’un rose soutenu, résistant parfaitement au plein soleil et au manque d’eau. Elle ne dépasse guère plus de 15 à 20 cm de haut et se prète parfaitement pour border un chemin ou une allée.
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Geranium sanguineum
Globularia alypum
C’est une indigène que l’on trouve dans la garrigue. Elle fleurit en janvier-février en petites fleurs bleues d’environ 2 cm, en capitules qui demeurent décoratives un bon mois après la fanaison. Elle présente un joli feuillage bleuté toute l’année et forme un coussin d’environ 30 cm. C’est une « dure à cuire » qui résiste au plein soleil, …sans apport d’eau.
Globularia alypum
Globularia alypum la capitule après la floraison
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Helichrysum italicum
Endémique du pourtour méditerranéen, c’est une floraison d’été qui mérite d’être signalée. D’abord car les inflorescences jaunes persistent tout l’été sur la plante, puis, fanées, demeurent décoratives plusieurs mois (d’ou son nom vernaculaire d’Immortelle). Ensuite car au plus chaud de l’été, il en émane un fort parfum qui rappelle les senteurs de la garrigue. Enfin, le feuillage gris clair argenté est attractif et contraste bien avec des fleurs rouges (genre Salvia miniata) et des feuillages bleutés comme Euphorbia rigida. A installer en plein soleil …
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Helichrysum italicum forme une belle touffe qu’il faut rabattre annuellement pour lui garder un port arrondi (mais ça n’a rien d’obligatoire !). Elle contraste bien, à l’arrière, avec le feuillage bleuté et géométrique de Euphorbia rigida, dont on aperçoit une inflorescence fanée qui a viré au rose ancien. On sent presque le parfum d’ici …
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Heliotropium peruvianum
Celle-ci je l’adore : elle est en fleurs quasiment toute l’année avec un réel parfum de vanille. C’est une sud-américaine, du Pérou, que j’ai installée contre les bambous, protégée du vent, et bien ensoleillée. Résultat : elle grimpe à plus de 2 m dans les bambous qu’elle ponctue généreusement de ses inflorescences bleutées. L’installer en bord de terrasse pour mieux en profiter … Les parties aériennes sont sensibles aux brûlures de la neige.
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Heliotropium peruvianum au parfum de vanille.
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Hemerocallis altissima
C’est une asiatique de Chine, qui fleurit bien dès qu’il fait chaud. Les fleurs jaunes, qui ne durent qu’un jour, se succèdent sur des hampes émises tout au long de l’année. Elle a besoin de périodes de repos entre deux floraisons, mais je l’ai vue fleurir en toutes saisons, même en décembre. La mienne est à mi-ombre et abritée du mistral.
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En visite chez Hemerocallis altissima !
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Iberis semperflorens
Très intéressante l’Ibéris : elle fleurit chez moi en plein hiver, entre janvier et mars, avec une profusion de petites fleurs blanches de 1 cm de diamètre, réunies en corymbes qui couvrent entièrement le feuillage. Elle forme un joli coussin de 20 cm de haut, qui s’étend lentement au fil des années.
Iberis semperflorens : détail d’une corymbe de fleurs qui s’ouvrent progressivement.
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Iris unguicularis
Cette forme bleu clair aux petites fleurs d’environs 5 cm, fleurit en plein mois de décembre. La plante est exposée plein sud et forme une touffe assez dense de feuilles étroites et effilées. Sa floraison hivernale la rend intéressante, avec une floraison qui dure pendant 3 mois. La multiplication est simple : il suffit de diviser une touffe et de conserver quelques rizomes.
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Iris unguicularis, forme bleu clair très décorative.
Kniphofia uvaria
Originaire d’Afrique du Sud, elle se présente comme un buisson de taille moyenne aux longues feuilles rubannées. La floraison n’est pas très longue, tout au plus deux mois, de la mi-mai à la mi-juillet, dans mon jardin (elle est à l’ombre), mais elle vaut vraiment le détour !
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Kniphofia uvaria. Tous les ans, c’est un plaisir renouvelé de revoir cette magnifique inflorescence en épi dont la couleur, tirant sur l’orange, se densifie vers le sommet.
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Lavandula dentata
Cette lavande est très particulière, …et très précieuse : au soleil, elle fleurit toute l’année, 12 mois sur 12 ! Un peu moins abondante les 3 mois d’hiver, cette floraison n’en n’est pas moins réelle. Elle forme vite des massifs magnifiques et supporte bien la taille si nécessaire. En revanche, elle n’a aucun parfum, comparé à celui si connu de la lavande vraie. On ne peut pas tout avoir …
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L’épis floral de Lavandula dentata photographié en hiver.
Linum narbonense
Souvent considérée comme une annuelle, elle ressort tous les ans dans mon jardin. Les semis spontanés y sont probablement pour quelque chose … C’est d’ailleurs l’un des avantages de cette plante qui, sans être envahissante, va vite remplir les espaces entre les massifs qu’elle ponctue d’une constellation de petites fleurs bleu céleste, ceci dès le mois de mai et pendant tout l’été. En rompant ainsi avec une organisation trop stricte et figée des massifs, c’est une petite maline qui joue la surprise tous les ans là ou on ne l’attend pas. Toutefois, avec le temps, la plante a disparue du jardin pour une raison inconnue.
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Linum narbonense
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Linum narbonense, une fleur délicate qui ajoute un peu de douceur et de romantisme aux endroits du jardin où elle se ressème spontanément.
Osteospermum album
C’est une vivace d’Afrique du Sud. Elle forme un petit buisson rampant de 20 cm de haut, qui a tendance à s’élargir. Je le taille donc en été, période à laquelle elle est la plus défleurie, car elle fleurit sporadiquement tout au long de l’année, du moins en plein soleil. Inutile d’essayer à l’ombre : elle s’étiole et fleurit peu. A signaler : elle est parfaitement résistante à la sécheresse même en plein soleil.
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Osteospermum album
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Au coeur de Osteospermum album …
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Osteospermum exclonis
Autre espèce d’Osteospermum aux fleurs jaunes plus petites avec des pétales plus courts
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Osteospermum ecklonis est tout aussi résistante à la sécheresse que l’espèce album.
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Pelargonium sp.
Très intéressant dans le midi, le pélargonium offre une belle floraison dès lors qu’il est au soleil. Cette espèce, non identifiée, résiste à des gelées légères. Ne pas hésiter à le rabattre si l’on souhaite lui maintenir un port compact.
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Pelargonium sp.
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Plectranthus arabicus
C’est une africaine que l’on rencontre également dans d’autres parties du globe comme l’Australie et Madagascar. En plein hiver, dès le mois de février, elle offre des épis de petites fleurs bleues qui durent au moins jusqu’à l’été, quelques fois sporadiquement. C’est un bon couvre sol de 20 cm de hauteur, qui se marcotte naturellement. Bouturage facile. La partie aérienne est très sensible à la neige.
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Plectranthus arabicus en fleurs début février.
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Renwardtia indica
Encore une asiatique dont j’attends toujours la floraison avec impatience : des fleurs jaune vif, bien turbinées, qui apparaissent en plein hiver, au printemps puis à l’automne. Elle se repose entre deux floraisons ainsi que l’été chez moi. Je l’ai installée à mi-ombre. Elle se propage volontiers par voie souterraine mais n’est pas envahissante pour autant, du moins sous nos latitudes. On arrache facilement les rejets et leurs racines. En laisser quelques pieds de-ci de-là illumine le jardin hors saison.
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Renwardtia indica, un rayon de soleil pendant les jours courts.
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Senecio petasite
Magnifique plante arbustive. Dans le jardin, elle est plantée à l’ombre et protégée du vent. En quelques années, elle a formé un bosquet gracieux, rejetant de la base. Les rejets, comme les boutures, peuvent facilement être multipliés. Elle est relativement fragile car les branches non encore lignifiées sont assez cassantes. Le feuillage de velour au touché et la floraison jaune de printemps et d’été sont un atout qui rend cette plante incontournable au jardin.
Le feuillage de Senecio petasite est doux au toucher et ressemble à du velour.
La floraison n’est pas en reste et offre un spectacle assez long qui illumine les zones d’ombre du jardin.
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